Brochard S, Blajan V, Lempereur M, et al. Determining the technical and clinical factors associated with pain for children undergoing botulinum toxin injections under nitrous oxide and anesthetic cream. Eur J PaedNeurol 2011;15(4):310-315. Voir l'article
Chaleat-Valayer E, Parratte B, Colin C et al. A French observational study of botulinum toxin use in the management of children with cerebral palsy: BOTULOSCOPE. Eur J PaedNeurol 2011;15(5):439-448. Voir l'article
Pour en savoir plus sur les Mini-docs (source handicap.fr):
Les Mini-docs comportent à l’heure actuelle deux modules, à expérimenter sur une tablette numérique.
Le premier module propose à l'enfant de cliquer, au choix, sur un papillon, un nuage, un camion de pompier ou un médecin. Chaque option servira à diminuer la sensation de brûlure sur la jambe, due aux injections… ou à arroser le médecin durant le traitement ! De cette façon, l'enfant ne se concentre plus uniquement sur sa douleur. « C'est le principe de la contre-agression, souligne Dr Chaleat-Valayer. L'enfant agit contre ce qui se passe. Souvent, il choisit de cliquer sur le camion de pompier pour m'arroser. Dans ce jeu, je finis souvent trempée ! » C’est ce premier module qui est testé dans l’étude MINIDOCS.
Le deuxième module se présente sous la forme d'un parcours de découverte interactif. Muni de sa tablette, l'enfant circule dans le centre de soins, à la recherche de QR codes (codes à scanner), souvent placés sur les blouses des médecins. Une fois détectés, ceux-ci révèlent des messages amusants. « Là, il est question de faire diminuer l'anxiété des enfants mais aussi de leurs parents, qui se trouvent, eux aussi, en situation de stress post-traumatique », poursuit la spécialiste.
Un troisième module, comportant des avatars personnalisables, a été imaginé et est en cours de développement.
Mots clés : jeux sérieux; serious game; toxine botulique; douleur